Les communiqués de Marco – Rappel de doctrine avant les vacances
5 juillet 2018 12:12, par L’après MacronPour élargir cette vision, il y a des sujets dont on ne parle jamais, et je pense que ces sujets sont à l’origine de nombreux malaises.
1. Droit du sol/droit du sang :
Le droit du sol sur le territoire français a été instauré par les franc maçons, ce droit du sol a modifié la vision que le peuple avait de lui-même, à la manière d’une amputation : si n’importe quelle personne peut devenir française en s’installant simplement sur le sol français, alors, cela veut dire que le français n’a ni histoire, ni pays, ni ancêtres, ni héritage, donc rien de particulier qui le caractérise lui et lui permette de se définir et de se reconnaitre par rapport aux autres, et rien qui ne lui revienne prioritairement, de droit : ni héritage propre, ni sol
2. L’héritage :
L’héritage est ce que nos parents nous lèguent, et, plus largement à l’échelle d’un pays, ce que nos ancêtres ont construit, l’héritage est donc un don, par lien du sang et/ou volonté d’offrir. Ce qui s’est passé en France, c’est que l’on a obligé les français à partager cet héritage, soit en leur mentant (par la propagande de l’ouverture aux autres), soit en leur imposant de force le partage (par les lois et les pénalités). Les français ont donc été volés de ce qui leur revenait, et ils ont été volés au point que leur avenir sur leur propre sol soit maintenant devenu incertain
3. Du lien brisé de l’héritage et du marché :
L’héritage reçu était un don et il impliquait des devoirs, notamment celui de le préserver et de le faire perdurer. L’héritage impliquait également que l’on travaille, pour sa famille et pour son pays, afin d’offrir à nos enfants et aux générations suivantes ce que l’on a nous même reçus, l’héritage participait donc à la pérennisation de la société et de la vie
Briser l’héritage a permis d’extraire le français de sa propre histoire, personnelle et nationale, pour le faire travailler uniquement dans le but de gagner sa vie. Ceci a eu pour effet de retirer toute valeur au travail qu’il exerçait, de détruire les fruits qu’il pouvait lui apporter (honneur, transmission de savoirs, développement de son pays), et de le soumettre aux riches puis au Marché