Réponse à JP
Vous n’avez pas d’arguments pour me répondre, sauf des insultes et des slogans correspondants à votre doxa marxiste.Faire l’impasse sur toutes les réflexions économiques du XVIIème et XVIIIème siècle qui tentaient de répondre aux problématiques nouvelles posées par la montée en puissance du monétarisme, la croissance exponentielle des échanges internationaux et la première révolution industrielle, sous prétexte de mauvais coup libéral relève de l’amateurisme le plus primaire. Votre façon de réagir était la même lors de mon premier post concernant les problèmes posés par la redénomination de la dette en monnaie nationale, où vous faites preuve de la même méconnaissance des mécanismes des marché obligataires, du fonctionnement de la dette de l’Etat et des conséquences de la mondialisation, comme si il suffisait de revenir à la monnaie nationale pour sortir du piège de la dette en euros. Vous oubliez que l’euro est le fruit du système socialiste fédéraliste mis en en place par la Commission pour remédier aux écueils des sanctions monétaires que rencontraient les Etats trop dispendieux, comme celui Du programme commun de J ; Delors et F Mitterrand ; Si vous voulez revenir à une monnaie nationale vous êtes obligé de réduire drastiquement les dépenses de l’Etat (57% du PIB),faute de financement par le marché. C’est justement le recyclage de la dette par le marché qui transforme les actifs bancaires en titres collatéralisés de refinancement des dettes qui permet de juguler l’hyperinflation monétaire. La création monétaire banque centrale est en effet circonscrite aux canaux bancaires de marché à des fins de refinancement d’actifs bancaires et non de financement directe de l’économie réelle. En cas de financement direct par la banque centrale, ie planche à billets, la monnaie crédit part directement dans l’économie réelle pour être transformée en monnaie fiduciaire.sans contrepartie productive, d’où l’hyperinflation.
En ce qui concerne l’Irlande dont la production de blé aurait suffit à nourrir sa population lors de la famine su XIXème siècle, je ne réponds même pas, tellement l’argument est une contre vérité historique.Voir l’étude ci-dessous à propos des importations de grains par l’Irlande entre 1840 et 1914. For example, in the case of wheat,foreign imports accounted for 92 per cent of imports in 1867 and 57 per cent in 1905
http://www.efm.bris.ac.uk/ecesc/Art...