Hôpital psychiatrique, soignants au bord de la crise de nerfs
14 juillet 2018 22:07, par Pitchou
Le fou avait à une époque avant l’enferment thérapeutique une fonction parmi les gens, celle de fou, comme le fou du village etc...Il avait un statut, se moquer ou avoir de la compassion envers lui était exutoire de ses propres névroses ou craintes, on avait un malade devant soi bien vivant. L’enfermement du fou a eu comme conséquence la perte de vue par le quidam de la folie visible, au moindre petit accroc de la vie, on vous considère comme déprimé avec un besoin d’une hospitalisation et un traitement adéquate préconisé par un psy hautement spécialisé. En fait, le psy n’enverrait jamais un parent au service ou il enferme les gens, et ne prescrira jamais la plupart des traitements à un membre de sa famille, un peu comme les vaccins, bref qu’on ferme ces centres et qu’on libère les fous, sans oublier de mettre en prison les planqués de la psychiatrie du type assassin ou pédophiles. Pour les drogués, il existe des méthodes de soins sans pour autant se cacher dans un asile.
« Avant je faissais pipi au lit, javais honte, je suis allé consulter chez un psy, génial il m’a débarrassé de tout ce que j’avais.
J’avais 500 francs » - COLUCHE