John Boehner qui avait invité Bibi à se prononcer sur le nucléaire Iranien et sans en référer à Barack, attirant la colère de ce dernier ?
Obama ne s’entendait guère avec Bibi, c’est de notoriété publique, car la "déconstruction" de l’Empire passe justement par la dénonciation de la collusion entre les démocrates et les sionistes, ces derniers étant surreprésentés au congrès US, ce dernier étant largement responsable de l’anti Trumpisme ambiant et ce, malgré Jared Kushner et les derniers gages donnés à Bibi via l’installation de l’ambassade US à Jérusalem, valant reconnaissance en tant que capitale.
Le système progressiste et mondialiste voulait Hillary, c’est un secret de polichinelle , le "progressisme" à la sauce interventionniste se retrouve en phase avec la pratique belliqueuse des néoconservateurs du passé, ceux de l’administration Bush Ante 2003 et l’élection de Trump (America First, fin de l’interventionnisme) n’est donc toujours pas digéré, que ce soit au sein du deep state ou en France, donc à Bruxelles et à Berlin.
Si Hillary était la candidate des sionistes, Trump fut celui des évangélistes blancs, Macron fut celui des la franc maçonnerie (GOF), il existe une alliance objective entre les Européistes mondialistes et les démocrates US, donc il est difficile de croire que le processus électoral américain ait été influencé par l’intervention israélienne et à l’avantage de Trump, comme semble l’affirmer Chomsky.
Quant au réchauffement climatique, c’est une guerre de lobbies, à peine arbitrée par les climato-réalistes, trop peu nombreux pour siffler la fin de la récréation entre les rois du pétrole et les champions des énergies renouvelables, ces derniers étant sponsorisés par des écolos très pressés d’accuser l’activité humaine afin surtout de tenter de changer de modèle économique pour lequel ils sont payés par des industriels piétinant d’impatience.
Trump, qui est tout sauf écolo, lui, botte en touche voire freine des deux pieds, je trouve que c’est une attitude bien plus noble que celle d’une Hidalgo et sur le même sujet.
Hidalgo, qui n’est qu’une petite Hillary, en définitive.