À propos de ma chère ministre obèse, que j’appelle affectueusement... Moby, ne lui donnez pas trop vite le bon dieu sans confession. Car si sa surcharge pondérale n’indispose que les obèsophobes, il n’en reste pas moins qu’elle se comporte en pure libérale, qu’elle est.
Un peu comme votre Buzyn, en somme. Des tas de médicaments déremboursés, des mesures contre les malades, qui frisent la provocation, ne sont là que les stigmates visibles de sa personnalité, qui cache probablement une adepte du nazisme, si j’en juge par ses méthodes qui consistent à réactiver le S. T. O. de sinistre mémoire.
En effet, Moby n’a rien trouvé de mieux, pour faire plaisir au non moins libéral 1er ministre, mais wallon lui, que de remettre, contraints et forcés, les malades de longue durée, au taf. Et ce, quel que soit l’avis des médecins, tant du malade, que celui de la Médecine du Travail.
En bonne démocrate, elle a du se souvenir que... Arbeit macht frei...