Transhumanisme, le crépuscule de l’humain – Conférence du père Jean Boboc à Nice
18 août 2018 07:25, par noelConférence extrêmement importante : elle résume implicitement les raisons de la détérioration de nos conditions d’existence, détruisant notre humanité à petits feux par un génocide/ethnocide programmé.
Parallèle évident entre cette destruction des valeurs humaines dont le Christianisme est le phare y compris pour athées et agnostiques et cette entreprise démoniaque dite de « transhumanisme ». D’ailleurs faussement appelé encore humanisme accolé à -trans ! Quel humanisme contiendra-t-il sinon un copié-collé sur la Vie donné par notre Créateur ? Les créatures que nous sommes ne sont-elles pas à l’image du Créateur ? Mais l’image n’est qu’une représentation, une manière d’indiquer une similarité mais non pas la Réalité divine, elle-même. Donc vouloir se prendre pour le Créateur et outrepasser ses Pouvoirs c’est blasphémer au possible.
Nous avons affaire à des dingues complètement investis par des esprits démoniaques qui les entraînent vers un abîme terrible et nous vers un piège abscons mortel.
« Qui donc peut commettre le péché impardonnable ? Celui dont la conscience a été rendue insensible. L’apôtre Paul le décrit comme étant une personne avec une ‘conscience cautérisée. »
« Or l’Esprit dit expressément qu’aux derniers temps quelques–uns apostasieront de la Foi, s’attachant à des esprits séducteurs et à des enseignements de démons, disant des mensonges par hypocrisie, ayant leur propre conscience cautérisée. C’est-à-dire, brûlée par un fer chaud. Notre conscience est comparée à la peau. Un morceau de fer rougi au feu qui vient en contact avec la peau cause la destruction des terminaisons nerveuses. Cette peau perd alors toute sensibilité. »
« Si un homme fait constamment taire sa conscience, elle devient de moins en moins sensible, et elle finit par ne plus rien sentir : détruite, cautérisée. »
« La destruction de la conscience rompt la communication entre Dieu et l’Homme. L’Esprit Saint ne peut plus lui parler. Un tel individu peut commettre le Mal sans se faire aucun scrupule. Il ne cherchera pas à demander pardon pour ses torts. S’il ne voit pas la nécessité du pardon, comment pourra-t-il alors être pardonné ? Il ne pourra jamais être pardonné puisque le pardon est un acte de Grâce auquel on doit répondre par la repentance (Luc 24.47 ; Actes 2.38). Celui qui commet le péché impardonnable n’est plus amené à la repentance car il a détruit sa conscience. _ »
Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. Rabelais