John McCain : son véritable bilan de guerre au Viêt Nam
27 août 2018 17:48, par kantorIl faut dire qu’en France,question traite l’on en possède un qui n’est pas la moitié d’une saloperie. C’est M.Boudarel...
Le sort des prisonniers Français pendant la 1er guerre d’Indochine dans les camps de rééducation viet minh fut longtemps méconnu du grand public.
Militant du parti communiste français, chrétien progressiste et marxiste, Georges Boudarel en avril 1948,s’embarqua pour l’Indochine comme professeur de philosophie et anima l’antenne indochinoise du PCF, le groupe culturel marxiste auquel Jean Chesneaux, l’historien communiste, appartint.
Le 17 décembre 1950, refusant d’être incorporé dans l’armée française et considéré comme « insoumis » puis déserteur, il rejoignit le Việt Minh et se rendit après une longue marche au Tonkin où, en 1953, il fut nommé commissaire politique dans un camp de rééducation de prisonniers, le camp 113.
Situé près du village de Nam Nahm, à 25 km à l’ouest du kilomètre 32 de la RC2 (60 kms au sud de la frontière de Chine et 30kms au sud-ouest de Bac.Giang), ce camp, insalubre, connut très vite une intense activité mortuaire… Car Boudarel excella dans l’art sadique des tortures infligées à ses concitoyens. Tortures les plus abominables qui soient.
Et, cerise sur le gateaux, M.Boudarel, protégé par les réseaux de gauche et d’extrême gauche, put regagner la France, integrer le milieux universitaire (Jussieu) comme maître de conférence...et put faire apparaître ses années de tortionnaires communistes en indo, comme faire valoir pour sa carrière...
Pas mal dans le genre, non ?...
(Cette saloperie est crevée en 2003)