Démission de Nicolas Hulot : le jour de gloire de Léa Salamé et Nicolas Demorand
31 août 2018 12:54, par listenerL’écologie est une chose extraordinaire : c’est un mot ! Ce n’est qu’un mot. Comme la Sainte Trinité. La "Sagesse" africaine, Zoroastre, le socialisme, le communisme. Ce mot n’a pour l’instant créé aucun "réel" car on ne récrée pas la nature par la convention que sont les mots. Or (je crois que c’est Héraclite) qui a avancé : "la Nature se cache". Tout homme qui affirme savoir ce qu’est la nature est un escroc. Une usine de produit chimique, c’est de la "Nature".
Il n’y pas de "pouvoir" écologique. Donc un ministre homme de pouvoir, écologiste n’existe pas. Sauf pour le bacs à fleurs. Il n’y a qu’une partie de l’électorat qui, dans certains pays, décroche en raison du dégoût provoqué par les partis fonctionnarisés. Mais il faut en prendre conscience, "l’environnement", la "Nature", ce ne sont que de vains mots car on ne sait pas ce que c’est et on ne saura jamais. ;
La merde, comme le désert selon Nietzsche, croît de par le monde et on parle de "nature" , "d’écologie". Si le monde doit disparaître selon la "nature", il disparaîtra, avec les écologistes chiants avec. Et alors ? On a vu pire. Rien n’est totalement négatif puisque l’apocalypse fera disparaître Monsieur Hulot,
Monsieur Hulot, l’écologiste le plus polluant de l’histoire. Il sillonne le monde en avion. L’avion, c’est un litre de kérosène par 100 kilomètres et par personne. Point.
Quand Hulot ira à ses "congrès" en goélette à voile, on reparlera d’écologie politique.