La paupérisation de la classe moyenne
2 septembre 2018 12:46, par PelagiaDernier paragraphe :
"La confusion entre production et richesse qui nous fait nous croire riches parce que nos machines produisent alors que le bon sens de nos compatriotes n’est plus utilisé, conduit inéluctablement à une révolution. Tous ceux qui n’envisagent pas sérieusement la révolution des esprits, préparent déjà, sans le vouloir mais en le sachant, une révolution sanglante. Tout parti politique sérieux se doit d’en être conscient."
Mon mot à dire : il est important de comprendre que si cette révolution se produit, les révolutionnaires seront des Africains et des Asiatiques, les autochtones européens ayant disparu pour lors depuis longtemps.
À titre d’exemple, la révolution cubaine a été faite par des Blancs et des Noirs. Les aborigènes de Cuba, eux, étaient depuis longtemps réduits à quelques goûtes de sang aborigène à peine visible physiquement, circulant dans les veines de quelques uns seulement de ces mêmes Blancs et Noirs qui en 1953-1959 disaient faire la révolution. Ils l’ont faite, et cette révolution vaudra ce qu’elle vaudra, là n’est pas mon propos. Je dis tout simplement que les révolutionnaires cubains n’étaient pas de vrais autochtones, pas plus qu’Aubervilliers n’est peuplé de descendants de Gaulois. Moi-même je ne suis pas un descendant de Gaulois mais un descendant d’Ibères, et à 100%, c’est dire.
On ne se réveille que si on est vivant. Et toujours faut-il que le réveil soit de l’ordre du possible. Et encore toujours faut-il que le réveil se produise tant que les moyens d’action soient encore de ce monde, car on peut se réveiller lorsqu’il est déjà trop tard. Et le rouleau compresseur qui a roulé sur les aborigènes cubains est de même nature que celui qui nous roule dessus en Europe en ce moment même.
Il faut donc œuvrer pour un réveil de la population, bien sûr, mais il faut aussi se demander quoi faire justement en cas de réveil de la population. Où mettre notre énergie, notre action ? qu’est-il possible de sauver au point où nous sommes arrivés ? la race blanche autochtone européenne ? ou plutôt les valeurs de l’Occident et de la France, sans importer la couleur de la population à qui nous allons proposer d’être porteuse desdites valeurs ? Surtout, compte tenu de la vitesse à laquelle arrive la nouvelle masse d’immigrés, sera-t-il possible de rendre cette future population "colorée" porteuse desdites valeurs ? est-ce la fin ou le renouveau de l’Occident est-il possible ?