Les éditions Ring lâchent le dessinateur Marsault
26 septembre 2018 08:42, par Mojo RisinL’état du pays est tel que l’extinction d’une voix "dissidente" fut-elle celle d’un back-roomer invétéré, ahaha ! - ne peut réjouir personne. Jours après jours le tsunami migratoire, les avancées lgbt’istes et la misère populaire ne reculent jamais.
Cependant, sur le champs de la bédé : les entreprises d’éditions ronronnent produisant pléthore de tiédasseries. A gauche les réseaux "BD, arts graphiques" tiennent des foules de crevards, entre autofictions dessinées, romans graphiques et hybridations entre dessin et art contemporain. Le tout engagé sans broncher dans l’obéissance à tous les progressismes. Budgets énormes...
Dans ma ville, une métropole de l’ouest pleine de migrants et d’assos queer, un de ces "pôles créatifs’ monopolise et contrôle l’ensemble du secteur, en lien avec des équivalents dans de nombreuses grandes villes françaises.
Alors oui, l’éviction de Marsaut est une censure. Je ne peux pas ètre d’accord avec les Raptors et Papacito dans leur "simplisme" politique... l’heure est venue pour eux de réfléchir.
Ils disparaitront tous. En raison des haines additionnées des bourgeois classiques, des sionards et de toute la gauche culturelle. Ils seront tous liquidés un par un pour n’avoir pas rejoint et renforcé des positions de résistance nette.
Pas un seul projet artistique, pas un, n’a vu le jour dans la zone dissidente ces dix dernières années.
A chaque fois qu’un artiste a essayé (Les Brigandes, Frank de Lapersonne, les foudres sont tombées).
Je retourne à la lecture de Lounes Darbois, Sociologie du hardeur. Très différant de Breum ! Dans ta face. Mais soyons honnète : une bonne scène de baston (voir même une bonne baston) a son charme particulier. Loin des pinailleries du tertiaire gauchiassisé partout épendu.