Clefs de lecture #3 – Le Capital de Karl Marx
7 octobre 2018 17:41, par MivilleKarl Marx est dans la suite logique des Intellectuels des Lumières par son immoralisme concret autant que par ses mensonges formulés de propos délibéré. Comme pour Voltaire il faut étudier le personnage dans la laideur de son âme et de ses actions concrètes en premier lieu et son ouvre de propagandiste ensuite.
Premièrement cet homme, de son métier, fut d’abord un indicateur et un agitateur de police pour le compte de l’État prussien de son temps, puis une fois que cet état prussien eut fait le constat de sa haine maladive pour l’Allemagne elle-même, il dut aller pratiquer le même métier pour les services secrets de l’État profond britannique. Pour entrer dans les deux emplois par la grande porte il fit le sacrifice humain rituel de gens de sa propre famille, des vieux qu’il soumit à de mauvais traitements délibérés mortels (non sans les avoir envoûtés) pour le premier, trois de ses propres enfants dans le deuxième cas, soi-disant parce qu’il était trop pauvre, pauvreté qui ne l’empêchait point de mener la très grande vie dans les quartiers les plus huppés de Londres et de se faire inviter à la table et chez les filles des grands pendant que les siens étaient enfermés dans un taudis à Whitechapel.
La doctrine marxiste fut formulée dès les tout débuts sur un mode inquisitorial dur, avec beaucoup plus d’argumentation et d’énergie mise à traquer et à dévisager des hérétiques potentiels qu’à formuler les thèses elles-mêmes, qui une fois débarrassées de leur argumentation par attaques ad hominem sont en fait d’une triste médiocrité et d’une absence total de radicalité. En fait c’est essentiellement un matérialisme dont l’unité fondamentale est l’argent et non pas l’atome, un matérialisme qui postule que les lois physiques vont et viennent et que les lois de la finance seules restent, et que le capitalisme est un état transitoire engendré par l’argent pour la maximisation de ses profits, et qui serait à son tour abandonné par ces forces de l’argent pour un état mondial centralisant toutes les ressources et se passant de classe consommatrice.
En fait cette doctrine était un moyen offert aux polices politiques que Marx servait d’éliminer tous les dissidents sous prétexte que c’étaient des parasites et des vendeurs de rêve prétendant à l’espoir faux de contrer l’avancée inexorable du capital, et de formater les bons prolétaires dans le sens de l’acceptation des fatalités du capital.