La condamnation d’Alain Soral pour apologie de crime de guerre cassée
11 octobre 2018 00:39, par goy pride
Donc si je comprends bien ces lois mémorielles, antiracistes...concerne également le second degré ? Je peux à la rigueur comprendre qu’une blaguounette tendancieuse de ce type vaille à son auteur une condamnation à l’euro symbolique pour avoir heurté la sensibilité des personnes concernées, mais condamner à de la prison avec sursis quelqu’un pour une plaisanterie vaseuse est pour le moins excessif ! D’autant plus excessif qu’il est impossible de déterminer la frontière entre le premier et second degré avec juste une phrase de ce genre. Il est impossible de sonder le cœur de son auteur pour s’assurer du degré de son adhésion à son énoncé...c’est comme si dans une rame de métro bondé un homo se frottait la bite sur ton cul et qu’exaspéré tu t’exclamais "les tantes il faudrait les pendre par les burnes au lampadaires..." et que tu te voyais condamné par un tribunal ! Autrement dit aujourd’hui on ne peut plus rien dire ! Tout doit être lisse, rose bonbon, bisounours !