François Mitterrand, un lecteur de droite... et aussi un peu d’extrême droite
12 octobre 2018 22:41, par Chatov
Aristote disait : jugez l’œuvre,ne jugez pas l’artiste.
Mitterand a pu obnubilé le peuple par son immense culture,mais qu’a-t-il
laissé pour la postérité ? Il était plus obsédé par la mort et l’au delà que par le destin de la nation.
En dehors de ce qu’il appelait"les grands travaux",qui reflètent ses angoisses face à la mort et une certaine sensibilité à l’esthétique,ses deux mandats ont été marquées par : pour le premier,la gestion du quotidien,c’est-à-dire pas grand chose. Quant au second,par la transcendance de la souffrance. Au final,l’Histoire retiendrait que sa présidence était une montagne qui a accouché d’une souris.