Subventions, racisme, Israël : la LICRA face à ses contradictions
19 octobre 2018 18:56, par H.M.Ces gens ont décidé, eux tout seuls, qu’ils étaient légitimes pour imposer à tout le monde leur idée du bien et leur idée du mal. Le bien ? Eux. Et ceux qui pensent comme eux. Le mal ? Devinez... Dans une société normale, c’est-à-dire une société où les médias font normalement leur travail de médias et la justice son travail de justice, cela n’aurait pas été possible. Dans notre société gangrénée par des lobbies qui représentent tous, peu ou prou, la même idéologie ( sionisme, franc-maçonnerie, lgbtq, antiracisme téléguidé ), c’est passé comme une lettre à la poste. Une fois que c’est acté ( "le bien, c’est nous, le mal, c’est les autres" ), tous les petits ambitieux savent ce qu’il faut dire et ce qu’il faut faire pour pouvoir accéder à sa petite part du gâteau. Comme le premier Valls venu. Mais ce qui est remarquable, c’est que tous les ambitieux passent. Comme le premier Valls venu. Alors que les lobbies du "Bien" et leurs représentants ( qui en réalité ne représentent qu’eux-mêmes ) restent. Et leur usurpation du pouvoir avec. Nous pouvons, tous les 5 ans, foutre dehors nos politiques, depuis le maire jusqu’au président de la république. Mais moi, ceux que je veux foutre dehors, ce sont les lobbies et leurs représentants ! Crif, licra, sos racisme, lgbtq et toutes cette clique de gens qui ont usurpé leur pouvoir et leur influence proprement scandaleux ! Ah, impossible : ce ne sont pas des politiques. Nous avons donc affaire à des institutions autoproclamées en quelque sorte ! Le pouvoir, mais sans avoir à se soumettre aux élections ni aux concours de la magistrature ! Moyennant quoi, grâce à ces "humanistes" et aux "droits de l’homme", la France est hérissée de miradors destinés à soumettre le peuple à leur idéologie mondialiste. Et pendant ce temps, les policiers, se font insulter, humilier et agresser copieusement dans un nombre de plus en plus inquiétant de banlieues et de villes françaises. Mais ça, là-haut, dans les miradors, ils n’en ont rien à foutre. Au nom des "droits de l’homme", bien sûr.
Drôlement bien foutu.
En cas de bonne surprise électorale ( à l’italienne, par exemple ), une des priorités sera la dissolution de ces officines de police de la pensée. Ou, à tout le moins, fermeture du robinet à subventions.