L’interdit de la connaissance du bien et du mal comme fondement biblique de la "morale juive"
31 octobre 2018 20:29, par Druide
Iahvé n’étouffa point le sens moral du bien et du mal, il imposa une règle morale incontestable et incompréhensible avec le seul instrument du cerveau, sa loi étant basée sur le sang et la préservation du sang hébreu et de son lien unique et exclusif avec Iahvé. Iahvé étouffa uniquement la connaissance du bien et du mal, connaissance liée au cerveau, alors que Iahvé est lié au sang de son peuple. La loi de Iahvé était imposée à son peuple pour des objectifs qu’ils ne pouvaient comprendre, il se voyaient donc interdit le chemin de la connaissance des Mystères, mystères connus des Païens à cette époque. Dans la religion de Iahvé, on est à des lieux du Lucifer latin, le porteur de Lumière, comme on est très loin du Prométhée grec porteur du feu du savoir et de la civilisation, avec sa connaissance éclairante, sa science, sa gnose. Ce n’est que plus tard sur le Mont Sinaï (chez les Arabes païens) que le peuple juif commença à reprendre en sa culture ce qui avait été combattu et rejeté au loin chez les païens.