Lettre au Parquet du TGI de Paris – Plainte contre Frédéric Haziza
29 octobre 2018 17:06, par laisse-et-muselièreOn voudrait l’excuser, le comprendre, tenter d’appréhender le mal qui le ronge, malgré tout avoir envie de le soutenir, humainement et par charité chrétienne, au moins, ne pas laisser là cette petite chose qui braille comme un chien qui ne sait que faire ça pour exister aux yeux du monde, hors de toute voie, de toute vue, le roquet n’a plus que sa voix.
On voudrait, chaque fois qu’on le quitte du regard, l’aimer, mieux. Nous aimons bien les monstres d’habitude.
Avoir du coeur pour lui, un sourire, imaginer un projet où il serait là.
Être bienveillant, d’instinct, quoi qu’il fasse ou exprime, lui faire connaître la cordialité, cette façon de pouvoir s’affranchir des autres, sans les blesser.
Mais, il se fait pestilence, il irrite, trop majestueux à être médiocre, trop locace à vouloir nous faire disparaître, supérieur à nous rendre inférieur.
Il n’exprime que pour l’étranger, ne nous parle que de ce qui nous est étrangé, sa gravitation dans cette braise est si déprimante et incomparable de déraison, qu’il nous faut fuir cette faculté à accabler, ne tenir pour elle aucune sensibilité, à son encontre n’avoir que d’abjects préjugés.
Car il s’est montré la plus offensente des manifestations !
C’est pourquoi Maître, il n’est plus belle mission qui vous soit affectée à faire connaître à ce vaurien, la France !
Honneur à vous et salutations sincères.