Le Parlement européen vote pour la création de polices spécialisées dans la lutte contre la "haine"
2 novembre 2018 20:34, par Crime de haine politique
Un individu du groupe oppresseur tue un individu du groupe oppressé :
Prison à vie, incompressible, sans prescription même si la mémoire des témoins se réveille après 40 ans d’attente.
Un individu du groupe opprimé tue un individu du groupe oppresseur :
Légitime défense, donc relaxe.
Le problème, c’est qui décide de qui fait parti d’un groupe opprimé.
A priori, les médias. Donc la classe sociale des propriétaires de médias.
Elle décide en fonction de ses besoins de camouflage de privilèges (plus magouilles).