Dans la continuité du travail de Paul Joseph Watson, il lui dit ici de juste fermer sa gueule, en mettant en lumière la girouette mondialiste sans conviction qu’est ce bonhomme. Ce qu’il fait, c’est répéter tel un mp3 le discours contemporain anti mâle blanc. Je ne m’inquiéterait pas plus d’entendre un robot me dire ce qu’il dit.
Ce qui va disparaitre, ce sont les parasites, qui voient se dresser dans l’horizon la fin de leur monde.