Petite réflexion :
Si un jour un Président de la République venait à s’affronter de face avec le CRIF (comme par exemple Macron avec le sujet de Pétain), mais que cette fois, il tienne bon, puis, l’affaire devenant de plus en plus dramatico-inquisitrice, finisse pas dire : "ouais ben d’accord ok, je suis antisémite, d’ailleurs la preuve : vous, le CRIF, vous êtes juifs, et vous me faites chier : donc je suis bien antisémite ; maintenant aller jouer ailleurs, car je dois m’occuper de la France et des Français."
Eh ben si un jour un Président de la République disait ça, même avec l’alali médiatique qui s’ensuivrait, les Français, dans leur immense majorité, n’en auraient rien à foutre.