Le Roi du Maroc tend la main à l’Algérie
27 novembre 2018 22:48, par LabaykabasharLa bataille de "Fakh" et Idris premier au Maroc.
Les combats de Ahlu-lbeit pour la réforme de la religion de l’Islam n’ont pas été interrompu depuis le martyre de l’Imam Al-Hussein Bnou Ali après la bataille de Karbala le dixième jour de Muharram en l’an 61. Le résultat de cette bataille une tragédie qui a ensanglanté les cœurs des musulmans de la douleur pour l’Imam Al-Hussein, "Rayhanatul-Mustapha", le Messager d’Allah - paix soit sur lui -
Plus d’un demi-siècle après la mort d’Al-Hussein, son petit-fils Zaid bnou Ali bnoul- Hussein a déclaré s’est soulevé contre le gouvernement des omeyyades, qui a dépassé toutes les valeurs religieuses et les normes de l’humanité. Et qui a déployé des personnes qui n’ont aucune crainte de Dieu comme " Al-Hajjaj bnou youssouf at-taqafi qui a exercé toutes les sortes de massacres et tortures contre les musulmans.
En l’an 121 H la même tragédie fut reproduite, il n’avait pas assez de force et d’hommes pour assurer le succès et la victoire. Il a été massacré lui et ses hommes par Omar bnou Yusuf Althaqafi et son armée à Kufa.
Les œuvres pour la réforme des alwites n’ont pas cessé après la succession au pouvoir de leurs cousins les abbassides qui sont une dynastie de califes sunnites qui gouvernèrent le monde musulman de 750 à 1258 et qui n’étaient pas moins oppresseurs et tyrans contre les ahlu-lbeit.
Les Abbassides ont contrecarré tout les mouvements de Ahlu-lbeit avec toute l’intensité et la gravité. Abu Jaafar Al-Mansour a mit fin au soulèvement de "Mohamed An-nafs Az-zakya », « *l’homme à l’âme pure* » qui est connue par sa piété et sa vertu et qui était parmi les Bani-hashem connus par leur éthique, et leur science. Sa révolution a fini par son martyre par les Abbassides en l’an (145 H).
La révolution de son frère Ibrahim ne s’est pas couvert de succès non plus. Il est tombé en martyre la même année par les mains d’Abou Jaafar Al-Mansour qui s’est établit sur son pouvoir.
Après l’échec des deux révolutions, certains mouvements ont eu lieu au Yémen et dans le haut de Khorasan, mais ils n’ont pas été couronnés de succès.
Ceux qui restaient de Ahlu-lbeit et de leur partisans ont choisi de vivre la dissimulation afin de se protéger contre le pouvoir qui guêtait leur moindre mouvement, jusqu’ au jour où il y a eu un litige entre le préfet de la ville de Médine et quelques hommes de Ahlu-lbeit qu’il a mal traité et hummuliés. Le sentiment d’injustice s’est réveillé encore chez les partisans de ahlu-lbeit et un soulèvement