Hervé Ryssen en couverture de Paris-Match
6 décembre 2018 19:43, par MPNFTrès belle photo de Ryssen.
Je l’interprète de différentes manières :
1. Relation cordiale mais franche entre un représentant de l’ordre avec un manifestant
2. Je me place d’un point de vue journalistique (Hervé Ryssen connu pour son travail sur la relation des juifs et de leur sexualité). Selon la matrice judéo-maçonnique, l’’élite juive persécutrice, inquisitrice faisant les 100 pas dans les couloirs du TGI pour faire condamner à tout va les nationalistes, parlera “d’antisémite, antisioniste, raciste, homophobe, racialiste, islamophobe…” ; ce que l’on lit, entend dans les mass-media.
3. Cette même élite juive montera d’un ton en comparant les GJ à la 2è GM, Hitler, Mussolini, nazi, nationale-sioniste, shoah, peste brune, rouge-brun, révisionniste…
4. Depuis le début de la manifestation des GJ, les logiciels oligarchiques d’abord médiatiques puis politiques puis financiers dysfonctionnent : les journalistes apprennent que leurs téléspectateurs GJ les méprisent. Le mépris s’avère réciproque. Les journaputes de chaîne d’info en continu (BFMWC, CNews) sont mis en accusation par les GJ. Il faut aussitôt changer de paradigme idéologique pour préserver son audience. Ils se mettent, donc, en PLS ne sachant pas s’il fallait les qualifier de bouzeux, de beaufs, de casseurs tout en les gratifiant des quolibets de facho, de peste brune, de raciste, d’homophobe… ou les qualifier de sans culotte donc de révolutionnaires.
5. Nous assistons donc à des bugs idéologiques quel que soit le camp.
6. Dernière hypothèse, manipulation de l’oligarchie financière pour activer la guerre civile (peuple se retrouvant face à face selon Collomb) comme l’écrit l’incendiaire zemmour.
Depuis peu, ce mouvement agrège d’autres mécontents : les ambulanciers, les lycéens, les routiers, les agriculteurs… ceux qui les amènent à revoir leurs vocabulaires. Ainsi finkel "préfère les ploucs aux bobos". Le botul BHL du matin évoque dans un 1er tweet "les fachos de droite et de gauche qui les infestent, s’ils ne trouvrent pas le courage de hurler, samedi, un immense “Not In Our Name”, c’est tout leur mouvement qui finira aux poubelles de l’Histoire". Je laisse sa faute exprès tandis que le botul du soir écrit dans un 2ème tweet “les GJ venus de plusieurs régions de France, précisent leurs revendications, tendent la main au gouvernement et, surtout, condamnent les violences d’hier”. Le botul du matin pense différemment de celui du soir.