Les analyses de Francis Cousin et d’Alain Soral se révèlent par leur pertinence avec notre mouvement français en Gilets Jaunes.
La Gauche du Capital fait tout pour récupérer le mouvement. Mais la lame de fond ou déferlante des manifestations en cours annonce le tsunami. Ils ne pourront pas l’arrêter. Le peuple et toute la population ont pigé. Les silencieux aussi.
D’autant que des stratégies personnelles-collectives sont d’ores et déjà en train de naître, croître et embellir pour déverrouiller le système, désincruster les fossiles-apparatchiks de tous bords !
« Une lame de fond est le déferlement d’une ou plusieurs vagues d’une taille considérablement plus grande que les autres, susceptible de provoquer noyades et destructions sur le rivage sur lequel elles s’abattent. »
« Nous évoquons une lame de fond pour parler de quelque chose de puissant et relativement imprévisible, tel que, dans une élection, le net succès d’un Parti en lice. Ainsi durant la nuit du 30 novembre 2008 à Cannes, une lame de fond dont la hauteur a été estimée à une dizaine de mètres a balayé un front de mer où une fête foraine se préparait : les structures dans leur quasi-totalité ont été complètement détruites ou rendues inutilisables. » Wikipédia
Nos GJ ressemblent fort aux premières contractions utérines, aux secousses sismiques, aux éruptions volcaniques précédées par des jours, semaines, mois ou années d’activité préalable. Elles reflètent le mouvement dû à la pression, autant de signes d’agitation.
Évidemment, le pied sur et dans la fourmilière, ces Martinez collabobos, ces fossiles d’apparatchiks n’auront pas le temps de manœuvrer parce qu’une autre vague arrivera, et puis autre encore plus forte, puis une autre. D’autant que si la Nature se mêle de la partie, les infrastructures vont en prendre un coup.
Plus question de « chaos contrôlé »
La saine contamination Gilet Jaunes va se poursuivre. Les piétons peuvent donc aussi arborer un morceau de tissu Gilets Jaunes en signe de reconnaissance. Et je vous assure ça marche ! :)
« Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. » Sénèque, philosophe
Défenseur acharné de la liberté politique et de la justice sociale, Sénèque envisage la sagesse comme le but ultime de tout homme :
« Tirons notre courage de notre désespoir même »
La peur de changement radical dépassée se transforme en joie.