Gilets Jaunes, la fin de la dystopie
20 décembre 2018 14:08, par renversonslatableUn chef de guerre, sait naturellement faire la distinction entre un hoquet populaire et un vomissement populaire, le peuple a vomi !
Et, chez l’humain, on ne remange pas ce qu’on a vomi !
Un hoquet populaire n’est qu’un spasme, instinctif, une secousse qui ne dure pas, au contraire du vomissement qui, lui, est la conséquence d’une construction patiente et lente des esprits à se libérer d’une astreinte intellectuelle !
RIP, RIC, tout ça n’est qu’un leurre, porté par l’opportunisme toujours prêt a transiger sur des principes, intangibles, l’esprit français du peuple qui s’est fasçonné durant des siècles au gré des tribulations auxquelles il a été soumis et qui sont inscrites dans son ADN mémoriel !
Nous vivons dans un système absolutiste et le pouvoir est détenu par un souverain qui se croit de droit divin, la Banque !
Dans un tel système, il n’existe pas de possibilité d’existance réelle pour une initiative populaire, tout est sous contrôle, c’est pourquoi un tel leurre n’est pas rejeté par le pouvoir en place car il sait ne rien risquer !
La dette oppresse le peuple, alors le peule n’a qu’une solution pour restaurer chez-lui une respiration naturelle, devenir, Régicide !
Samedi 22, coïncide avec les vacances scolaires, or, dans notre pays il a été trop facile à certains d’expliquer l’humiliation subie par les enfants du peuple ; lycéens de Mantes-la-Jolie, alors qu’en 2011 l’Élysée organisait des cessions spéciales pour d’autres étudiants, en dépit de la loi sur la laïcité afin qu’ils puissent respecter leur rite religieux ! Et, ce seraient ceux-là qui dicteraient leurs règles de conduite au peuple, quand ils s’associent à obtenir contre lui des jugements iniques ?
Et, celui-ci resterait enfermé dans des épithètes, droite, gauche, social, national, libéral... ?
Il n’y a plus que deux natures et deux genres pour le peule : Libre ou Esclave !
Quand les policiers qui ont battu le peuple en gilets jaunes ferment les commissariats au nez du peuple pour obtenir leurs droits, ce n’est pas de l’opportunisme, ni de la violence ?
Quand, dire la vérité abruptement est qualifiée de fascisme ou de complotisme, ce n’est pas de la violence ?
Quand, qui détermine quoi est juste, quoi ne l’est pas en France n’est pas le peuple, qu’est-ce que la violence chez-nous ?
En vérité, la violence n’est pas une caractéristique populaire quand le peuple exerce son droit à se libérer d’une soumission mais, l’expression d’une bonne foi de sa part !