L’écrivain Éric Hazan analyse les insurrections de 1848 et 2018
24 décembre 2018 18:03, par bertin
Impensable intellectuellement !
La bourgeoisie d’extrême gauche...
a découvert le peuple campagnard arriéré
dans les beaux quartiers de Paris,
où habitent banquiers et leurs grands
serviteurs trotskistes associés .
L’odeur des insurrections armées,
faite de sueur de larmes et de sang ,
du peuple qu’il méprise les enflamme encore .
Ces pauvres Gilets Jaunes sympathiques
ont besoin d’un stage de rééducation
dans les banlieues où vivent la nouvelle classe
de domestiques du système.
Quelle condescendance !