Rothschild et Goldman Sachs pratiquent la fraude et le blanchiment en Malaisie et ailleurs
28 décembre 2018 04:18, par Francois DesvignesLe pot aux roses de Malaisie a failli ne jamais être découvert :
Najib ( surnommé ici NajiS qui veut dire "merde" en malais) était persuadé qu’il allait gagner les élections et ainsi pouvoir continuer à syphoner les fonds publics, tellement il avait arrosé (toujours avec les fonds publics) les boumis (les Malais historiques vs les chinois et les indiens d’importation).
Quand il a vu qu’il perdait tous les états de Malaisie les uns après les autres, que son parti était laminé, il est devenu tout blanc. Et là il est en est devenu fou : il s’est persuadé qu’il n’avait rien volé, que les 300 sacs Dior de sa femme étaient des cadeaux (à 50 000 € le cadeau) et que bien sûr il y avait un petit trou dans les comptes publics d’1 Mds $ soit en monnaie locale 5 Mds de MR (pour vous, 5 Mds€) mais c’était parce que la nouvelle équipe ne savait pas compter.
C’était en mai de cette année.
Depuis, il a 65 chefs d’inculpation et son premier hearing aura lieu en fevrier.
Normalement, il devrait écoper entre 100 et 200 ans de prison.
Mais la morale de l’Histoire n’est pas là mais ici : ce dont nous nous sommes aperçus ici, c’est que le cas Najis est un cas ORDINAIRE et PLANETAIRE.
Tout dirigeant qui se fait financer sa campagne par GS et consorts, tape dans la caisse.
Or, dans le monde, il n’y a pratiquement que trois dirigeants qui n’ont pas fait appel aux "concours GS lato sensu "pour leur élection :
Xi jinping parce qu’il n’a pas été élu par le peuple mais par le parti.
Poutine parce que l’Etat russe, c’est lui.
Trump parce qu’il s’est autofinancé.
Ce ne sont pas des saints.
Mais GS n’y est pour rien.
Tous les autres non plus ne sont pas des saints.
Mais là, souvent, GS y est pour quelque chose, à doses d’1 Mds$ "la chose" (le détournement-remboursement-rémunération").
C’est en Malaisie que le pot aux roses a été découvert
Ceci dit, ça puait tellement partout, que depuis longtemps on s’en doutait un peu partout dans le monde.
Donc, aux prochaines élections, quand vous élirez quelqu’un, ne lui demandez pas son programme.
Demandez-lui le nom de son banquier.
Au fait, le banquier de M....N, il s’appelle comment ?
Eh bien, vous voyez bien que tout s’éclaire !
Merci Najis !