Psychose et épuration anti-quenelle : le restaurant Le Train bleu porte plainte pour une photo qui date de plusieurs années
1er janvier 2019 03:22, par disc
Quelqu’un caler en droit pour m’éclairer svp ?
Il y a une chose que je ne comprends pas : il n’existe aucune loi sur la quenelle donc sur quels motifs peuvent-ils poursuivre en justice ?
La quenelle n’ayant aucune signification légale (aucun texte de loi), chacun est libre d’en faire usage pour les motifs de son choix. La justice n’aura rien à dire puisque elle ne la reconnait pas légalement. L’ambivalence du geste permet précisément d’invoquer une raison tout autre que celle de l’incitation à la haine raciale. Cette dernière n’étant qu’une interprétation minoritaire, bien que dominante à travers les médias, ne peut donc pas prévaloir pour fonder un jugement de justice, d’autant plus si les personnes jugées invoquent un tout autre motif comme celui de l’expression d’une opinion personnelle ou politique.
En revanche se faire emmerder par son employeur pour avoir exprimer une opinion personnelle à travers un geste, légalement, dans une démocratie qui parle de liberté d’expression à tout bout de champs, cela s’appelle de la discrimination... du coup les serveurs ne seraient-ils pas les plus légitimes pour poursuivre en justice ?