Les accusations haineuses de Jakubowicz et Praud à l’encontre de Dettinger
9 janvier 2019 05:40, par Francois DesvignesJaku est un avocat nul de chez nul, une truffe.
C.T est protégé par l’article 35 de la Declarations des droits de 1793, non abrogé, qui dispose que :
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».
Article 35 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793.
N’étant pas repris dans le préambule de la Constitution, on a discuté de savoir si ce texte n’était pas abrogé.
Mais même si ce texte devait être considéré comme abrogé, il ne pourrait pas être tombé en désuétude puisque le principe qu’il rappelle (le droit à l’insurrection) fait nécessairement partie des Principes généraux du droit.
En effet, si, en cas de violation de la loi par la puissance publique, le peuple n’a aucun autre recours que d’obéir, alors l’état de droit est une fiction puisqu’en fait de droit il ne deviendrait alors que l’organisation de la tyrannie légale.
Dans le cas de l’espèce, la police a violé la loi en s’en prenant violemment à une pauvre femme sans défense qui ne les menaçait pas en lui tapant dessus comme des sourds au point qu’elle a pu témoigner que CT, lui avait "sauvé la vie".
Donc, à ce stade, CT n’ a exécuté que son devoir en secourant une personne en danger.
la femme libérée de son tortionnaire , CT a poursuivi ce dernier et ses collègues qui acourraient à sa rescousse et il s’en est suivi les coups reprochés.
Si donc, CT n’était pas juridiquement en état de légitime défense, il était en état de légitime insurrection, sur le fondement de l’article 35.
Ou alors il faudra admettre qu’être policier donne le droit de frapper jusqu’à tuer tout citoyen ad nutum.
Or, cela est impossible : même les bêtes sont mieux protégées.