"L’esclavage par l’usure, ça suffit !"
10 janvier 2019 09:55, par Fiodor Vassilievitch TokarevL’Etat n’a aucune légitimité, ce n’est qu’une construction théorique pour les besoins politiques des différents régimes qui ont détenu le pouvoir. les BANQUES
Cela s’est réalisé dans la douleur et à coup de guerres ou de trahisons de la part des potentats locaux pour du fric.Une fois le but atteint, et pour préserver cette unité artificielle, les politicards aidés par les ploutocafards, ont imposé leur autorité. Pour fonctionner, ils ont créé une administration, des services, des organismes divers et variés (police, justice, armée) qu’ils ont nommé État
C’est un outil totalitaire au service du KAPITAL
Autrement dit, l’État n’est surtout pas le gouvernement, ni même la présidence de la République (arnaque) pas plus qu’il n’est la nation. C’est un outil créé de toute pièce pour asseoir le pouvoir des représentants des partis politiques afin d’usurper aux peuples toutes possibilités de gérer eux-mêmes leur destin (économique, social et professionnel) et de s’approprier illégalement le droit de pondre des lois pour maintenir les peuples sous leur domination et de les punir s’ils enfreignent « leurs » lois ou s’ils remettent en cause « leur » pouvoir
Avec le développement du capitalisme industriel, commercial et financier, les représentants des partis politiques qui se succèdent au pouvoir ne sont là que pour gérer et protéger les affaires des capitalistes. (KAPITAL = Mammon dans le nouveau Testament, le mot Mammon signifie possession matérielle)
Un autre outil a été mis en place pour justifier ce hold-up, c’est le système électoral et, ce, au nom de la démocratie.Le système électoral qu’il soit censitaire, représentatif, majoritaire, uninominal à un tour ou deux tours, proportionnel, de liste à un ou deux tours…est une vaste escroquerie intellectuelle destinée à donner l’illusion que l’électeur décide et choisit.Or, une fois que cet acte inconscient est effectué, l’électeur se trouve pieds et poings liés. Il n’a plus aucune possibilité de réagir ni d’agir puisqu’il a donné quitus, souvent à un inconnu pour, qu’il croit, défendre ses intérêts.Rapidement, il se rend compte que ce ne sont pas ses intérêts que son représentant défend, mais bien les siens, ceux de son parti et du grand KAPITAL dont cet individu est le serviteur.
L’État est intimement lié au KAPITAL. Il va permettre et renforcer les rapports exploitation par le vote de lois scélérates et répressives afin de maintenir les travailleurs sous la férule du patronat et sous la domination du pouvoir politique.