25 questions qui agacent les féministes
15 janvier 2019 09:06, par H. K. Daghlian
Tenir ce genre de discussion avec une féministe a tout de la stérilité. Tous les arguments de bon sens ne prennent pas sur une personne dont le cerveau est lavé, d’ailleurs, si elles en avaient, du bon sens, elles ne seraient pas féministe en premier lieu. Elles sont conditionnées pour exploser à la moindre allusion à quelque chose qui a trait au patriarcat. Ce genre de vidéos me met mal à l’aise en ce sens où, sous prétexte de mettre à mal les assertions de l’adversaire, il valide leur raison d’être. Il faudrait d’abord s’accorder sur la notion de privilège avant de poser ce genre de questions.
Le féminisme une branche morte de la société qui mérite de disparaitre, le réel a cette fâcheuse tendance de nous revenir sur la gueule lorsqu’on pense l’avoir battu. Ce n’est pas pour rien que la majeure partie des féministes finissent seules, dépressives, avec une flopée de chats et une amertume et une aigreur qui les encore moins fréquentables.
Sont elles des victimes ? Je ne sais pas. Est-ce qu’un enfant qui nait dans un milieu où la criminalité est la règle et qui choisit d’emprunter cette voie est une victime ? Est-ce que ça plaiderait sa cause dans un tribunal où il est jugé pour de multiples meurtres ?