"Enterre-moi, mon amour", le jeu vidéo qui retrace le parcours d’une migrante
14 janvier 2019 08:49, par H. K. Daghlian
Cela fait déjà un moment que les jeux vidéos s’alignent sur la propagande gauchiassique actuelle. Si les grosses boites comme EA, Ubisoft, Activision ou Bethesda commencent à réaliser que lécher le cul des mondialistes leur coûte la peau du leur, les gamers étant essentiellement les derniers à décider de ce qu’est un bon jeu (revoir les retours sur le dernier Battlefield ou l’on essaye de nous vendre qu’une femme estropiée fait partie des héros de guerre ou la polémique sur Red Dead Redemption qui, malgré un côté historique assez correcte se voit fustiger par la presse pour son coté oppressant les femmes, quid des passages censurés ou modifiés à la volée avant sortie du dernier Senran Kagura et qui ont tué le jeu dans l’œuf sur certaines plateformes), les petits branleurs qui coproduisent des daubes pareilles avec ARTE, sûrement payés par l’argent public, comme le cinéma de propagande, n’ont aucune chance de passer sinon dans les médias qui les payent.