Les Gilets jaunes de Paris à Besançon, ou comment forcer les portes du "grand débat"
20 janvier 2019 10:49, par anonyme
Pour le dire métaphoriquement on a juste l’impression d’être agrippé par le bras, par un maniaque psychotique qui ne renoncerait pas à entraîner, par tous les moyens, sa victime dans le cloaque qui lui sert de biotope. Sauf à servir la même névrose que cet enragé, il n’y a rien a attendre d’autre que de la résistance et un refus catégorique par qui ne peut survivre dans un égout. Il y a clairement volonté délibérée de nous enfoncer dans la m..., pour nous y noyer. A la grande satisfaction de qui attend hors de vue de la rive pour en prendre possesion, qui se chargera d’ailleurs, le moment venu, de se débarrasser du psychopathe utilisé. Un pervers narcissique frappé d’hémyplégie mentale entouré de pervers brutaux et autistes est l’équipe idéale pour achever un travail de sape afin de spoliation. Nous y sommes...