A nos amis les forces de l’ordre :
Voudriez-vous, s’il vous plaît, comprendre que c’est sur vous-mêmes que vous tirez,
que c’est sur vos familles, vos cousins, vos frères, vos sœurs et sur vos enfants que vous proposez de tirer à balles réelles.
Car si rien ne change dans vos idées, dans votre logique, ce sera bel et bien vos enfants, devenus adultes, qui se feront massacrer, véritablement assassiner, par vos futurs collègues.
Et vous n’y pourrez rien, et nous n’y pourrons rien.
Vous serez seuls dans votre chagrin et vos regrets.
Je vous le dis sans haine, avec respect et amour, s’il vous plaît, je vous en supplie, réfléchissez.