Le corporatisme, une solution d’avenir ?
4 février 2019 05:07, par Francois DesvignesLa segmentation de la Tour du Pin est véridique :
le corporatisme, c’est l’homme frère.
le libéralisme, l’homme chose.
le socialisme, l’homme bête.
Aujourd’hui que le socialisme est éradiqué pour avoir fait faillite, il nous reste le choix entre :
l’Homme frère.
l’Homme chose.
L’avènement de l’Homme frère est contemporain de son Inventeur, le Christ :
Avant le Christ, l’Homme est une chose au service de l’Etat : il n’a aucun droit en face de l’Etat et l’Etat n’a aucun devoir à son égard.L’Homme y est la chose de l’Etat qui est Dieu. Ainsi, ceux qui possèdent l’Etat (Sénat) possèdent le genre humain.
Après le Christ, l’Homme est Fils de Dieu et l’Etat sa chose : l’Etat n’a que les droits de ses obligations remplies envers lui (le droit à l’impôt contre la paix et la sécurité) et lui, comme Fils de Dieu a tous les hommes pour fères et non pour choses ( fin de l’esclavage et succédanées, le salariat prolérarisé).
Toute l’Histoire de l’Humanité après le Christ est la tentative de la Restauration de l’Homme chose, un monde où Satan est prince de ce Monde, l’Homme sous son joug et Dieu assigné à résidence dans le ciel :
le socialisme est le côté pile de cette médaille mondialiste.
le libéralisme le côté face de cette médaille mondialiste.
et le mondialisme lui-même que l’aboutissement de cette reconquête sataniste.
Nous ne devrions donc pas confondre l’oeuf et la poule, dire que la conséquence institutionnelle de " l’Homme est fils de Dieu" (le corporatisme) est la solution alors qu’elle n’est que la conséquence nécessaire de la cause :
Soit nous disons l’Homme est Fils de Dieu et la Corporation s’imposera comme conséquence sociale de ce postulat.
Soit nous disons l’Homme est son propre dieu et "l’Homme chose" s’imposera comme conséquence ultime de ce postulat.
Si nous disons ce que nous proclamons depuis la Renaissance, que Dieu n’a rien à voir en politique, (la religion laique) , nous ferons à notre corps défendant la promotion de l’Homme chose où :
l’État est tout et Satan est son maitre, un monde où celui qui possède l’État (la banque) possède le monde et ses choses : l’homme.
Et nous , comme Dieu, dont nous sommes les Fils, en conséquence du règne consenti à Satan, rien. Donc moins que les hommes-choses : "les choses" à génocider aux Colisés.
Athées, républicains militants, thuriféraires de la libre pensée, une question à votre intention : selon vous, qui est con ?
Pas Satan : lui est logique.