Marlène Schiappa : du guide psy-cul au détournement de fonds publics ?
12 février 2019 19:43, par L’état de l’état de droit.
Mes interventions étaient bonnes ! Comment une bonne personne comme moi, pourrait-elle avoir des intentions mauvaises ?
Ah ! Le crime d’intention ! Mais qu’est-ce qu’il marche bien, ce crime d’intention : Même dans l’état de droit, il permet de condamner les méchants tout en innocentant les gentils, même si le gentil s’en ait mis plein les fouilles, et que le méchant n’a fait que raconter ce qu’il a vu. Nan, mais pour qui il se prend pour témoigner, ce criminel ?
Les bonnes intentions sont déterminées par les médias, le juge d’instruction (du ministère) valide, et le juge du siège tamponne car l’audience ne fait qu’une heure.