"L’attentat" contre Alain Finkielkraut révèle le noyau dur du sionisme en France
17 février 2019 21:42, par Robespierre« Je suis né à Paris mais je suis le fils d’immigrants polonais. Mon père a été déporté de France. Ses parents ont été déportés et ont été assassinés à Auschwitz. Mon père est rentré d’Auschwitz en France. Ce pays [la France] mérite notre haine : ce qu’il a fait à mes parents fut bien plus violent que ce qu’il a fait aux Africains. » Finky, Haaretz, 17/11/2005.
On récolte ce que l’on sème. Quant à l’éculé « le racisme et, surtout, l’antisémitisme », il suffit de parler un peu autour de soi pour se rendre compte que de nombreuses personnes en ont plein les bottes à clous. L’équipe de pingouins et de filous qui tente de se faire passer pour « un rempart contre le fascisme » depuis deux à trois décennies, lasse. Elle agace. On ne lui demande pas de se décerner des brevets de résistance et de grandeur morale, car on sait qu’elle tournerait casaque sitôt le vent mauvais comme le 10 juillet 40, mais de s’occuper des intérêts de la nation, de sa richesse, de l’intégrité de son son territoire, de sa souveraineté et de son avenir.
Que les cosmopolites et autres « citoyens du monde » dégagent, personne ne les retient. Après tout, puisqu’ils chantent les louanges de l’Autre et de l’Ailleurs, qu’ils s’en aillent. Rapidement.