Dupont-Aignan viré de C à vous pour avoir traité Cohen de "cireur de pompes du pouvoir"
8 mars 2019 13:23, par gyuxbSans parler du fond, on constate que, sur la forme, les règles de la logique ne sont pas respectées.
La "journaliste" se prend pour la patronne et pour la confesseuse tout à la fois (j’exige des excuses !). Elle croise les bras, ricane de satisfaction à propos des ennuis allégués de son interlocuteur (il aurait moins de soutien populaire), prend parti pour l’autorité officielle face à un homme politique, gronde, tance, vire, ne permet pas... exactement comme un surgé de l’ancien temps dans son bureau, face à un élève.
Or nous avons là NDA, un politicien qui représente un certain nombre d’électeurs (et même s’il n’en représentait que peu).
Il a une fonction qui le place au-dessus de "l’inviteuse". Il est majeur, pas à l’école. Il n’est pas chez elle. Paie-t-elle le loyer des locaux ? Non, elle reçoit l’APL pour se vautrer dans ce studio. Elle bénéficie d’un emploi aidé et ne produit aucune plus-value. On s’attendrait à une certaine modestie, alliée à une excellente éducation. On ne rabroue pas ses invités.
Le ton adopté d’emblée par cette femme qui dépend des subsides de l’Etat tout en narguant le public avec les croissants du chef, est inacceptable.
C’est quand même infernal. On comprend qu’elle prend le pouvoir en place pour l’Etat et qu’elle a compris qu’elle doit ramper face à l’usurpateur éborgneur, qui n’est bien sûr pas du tout le payeur de ses gras émoluments.
Elle a l’air inquiet quand NDA parle de ceux-ci. Voilà qui la concerne bien plus que les tenants et aboutissants de son "métier" indigne.
La forme de ce "débat" télé est totalement renversée.