Réchauffement climatique : la découverte de Zeller et Nikolov peut-elle bouleverser le monde ?
12 mars 2019 06:26, par Anwen
E. Burnouf (1801-1852) dit, après avoir parlé de la faculté de concevoir la vérité absolue dont les mathématiques ne sont qu’une partie :
« Les mathématiques pures n’ont qu’une très faible portée philosophique et s’accommodent de tous les systèmes. Les quantités qu’elles ont pour objet sont les diverses formes de cette possibilité d’être que les Asiatiques ont appelée Mâyâ et que Platon nommait aussi la Mère, le lien, la dualité. Or, quelle que soit la métaphysique à laquelle on s’arrête, cette Mâyâ est la condition inévitable de tout phénomène réel ou seulement possible ; elle a donc en elle quelque chose d’absolu ; c’est ce qu’avaient compris les Indiens et Platon ».
Le grand prestige qui est resté attaché aux sciences exactes et aux méthodes mathématiques vient de ce que c’est pendant l’époque de vérité qu’elles ont pris naissance. Depuis, on a gardé les mots, mais on n’a plus compris la profondeur des lois trouvées par ces méthodes.
La Terre, l’Espace, l’Univers