Antiracisme : quatre cas de dissonance cognitive
15 avril 2019 13:53, par PaulÀ ce sujet, j’ai de plus en plus d’acquaintances dites "bobo" parisiens, hommes et femmes, qui se prennent de plein fouet cette réalité : baffes dans la gueule gratuite, tentative de viol, violence en tout genre.
Au demeurant, ils votent toujours Macron, sans rire, ou bien ils se sentent rebels et votent France (In)soumise, et y’a même des téméraires qui comptent encore sur les Ripoublicains, d’aucun s’aventurent sur la liste Glucksman, c’est dire...
À mon sens, le lavage de cerveau est tellement radical que rien, absolument rien ne ferait changer d’avis ces gens qui sont illuminés par la pensée unique des droits de l’Homme et du progressisme, de la "société ouverte" et du cosmopolitisme.
J’ai essayé, vraiment, mais c’est peine perdue. Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
In fine, le problème n’est pas la racaille, ni l’immigration massive, ni même nos dominants. L’immense défi ce sont tous ceux qui ont renoncé à la France, pour qui ce pays n’a jamais existé autrement que dans des écrits historiques.
Ils sont légions.
Tu as beau leur montrer la Lune, regarderaient-ils seulement le doigt ? Oh, ce serait trop demander. Non, ils baissent les yeux, lorgnent sur tes pompes, la nuque basse et l’âme abdiquante, tétanisés par un sentiment de culpabilité mais encore galvanisés jusqu’aux urnes par la conviction d’être dans le vrai, le beau et le bon.