Il y en a qui sont un peu “ramollis” du cerveau...le président brésilien a dit “nous”...pas “ils” ou les Israéliens. Le ”nous” dans ce contexte devrait signifier “le peuple brésilien, les ministres et moi”, donc il ressort de cette affaire une question. Depuis quand les Brésiliens n’ont-ils pas le droit de pardonner ce qu’ils veulent, quand ils veulent et à qui ils veulent ?