Il n’y a aucun doute, cela ne peut pas être accidentel. Ce n’est pas une spéculation philosophique, politique...mais du factuel basé sur la science. Un nid d’oiseau ou un chiffon en feu...les étincelles d’une scie circulaire ou d’un poste à souder...un coup de flamme de chalumeau...ne peuvent pas expliquer l’embrasement rapide et complet d’une charpente en chêne, ni l’incroyable quantité de fumée épaisse d’une couleur suspecte que cet incendie a produit. Si des poutres en bois étaient aussi aisément inflammable on le saurait ! Il y aurait régulièrement des sinistres et depuis longtemps la législation aurait imposé partout des dispositifs de sécurité dans les combles des vieux immeubles et des maisons...ceux qui ont une cheminée, un poêle à bois...peuvent comprendre aisément cela ! Nous savons à quel point il est difficile de faire brûler un morceau de bois d’un gros volume et ceci malgré le tirage de la cheminée ! Et c’est pour cette raison qu’au-delà d’un certain volume on fend les bûches en section moins volumineuse et que l’on démarre toujours un feu avec du papier, des brindilles et du petit bois ! Prenez une bûche d’une essence de bois dense de 30 cm de diamètre, imbibez une chiffon d’essence et constatez si vous pouvez faire s’embraser et se consumer entièrement la bûche de cette manière !