Stéphane Édouard – La fabrique des barbares
29 avril 2019 18:08, par Untel
Assez décevant.
On ne voit pas trop où il veut en venir.
Des exemples à l’emporte-pièce, ou incomplets, ou simplistes.
Sur le football, ce sport est loin de s’être uniformisé en termes de style de jeu, ce qui s’est généralisé c’est la mutation des clubs professionnels en entreprises commerciales (et c’est valable pour le sport en général).
Et sur les créations artistiques j’ai pas bien compris en quoi s’éloigner de la tradition fait basculer dans le marketing.
Le mouvement brownien chaotique de libre-circulation des capitaux, des marchandises, et des hommes, ne peut que s’intensifier au fil du temps, barbares ou pas barbares.
C’est le Capital, en tant que dynamique, qui absorbe le tout du monde, et non l’inverse !