Stéphane Édouard – La fabrique des barbares
30 avril 2019 14:58, par delphin
La partie première sur le vin est brillante ; on sent que notre sociologue a vu "mondovino" !
Les ravages du court-termisme sont propres à notre société ; dommage que S.Edouard ne tranche pas vraiment sur le sujet, on aimerait plus de subjectif, et je sais que tout bon orateur qu’il est, il aime souvent se retrancher derrière ses concepts ; (lien avec le capitalisme, par ex ?)
Le passage sur la musique est plus surfait, je ne crois pas que le sentiment d’une musique plus "populaire" rime avec une qualité décroissante
(debussy et mozart me donnent les mêmes émotions... mais pas de la même façon !)