Les guerres, surtout celles lancées au nom de l’Empire, ne sont rendues possibles que par une préparation médiatique. De fait les journalistes y participant sont à considérer comme des acteurs du conflit au même titre qu’un agent sous couverture.
On avait les crimes contre l’humanité, on peut avoir les crimes contre la vérité.
En sachant que le mensonge tue, mutile, brise des vies... les deux vont de pair. Les mensonges de dimension de masse, car touchant des millions de personnes au bas mot, sont à punir pénalement comme un crime de masse.
Les menteurs journalistiques ne sont que les serviteurs zélés du malheur du monde, oeuvrant sadiquement pour que les innocents souffrent sous prétexte de servir une cause.
Hors JAMAIS une cause juste ne saurait être défendue par le mensonge.
De fait ils servent une cause mauvaise ; quiconque ayant une conscience et réfléchissant sur la question le comprend donc le sait. Ainsi ils le savent.
Ils ont choisi leur camp et sont à châtier à la mesure de leur forfait.