L’Eglise conciliaire n’en fini plus de se prosterner devant le Temple et chacun de ses renoncements est évidemment perçu comme une invitation à formuler d’autres exigences. Prochaine étape la réécriture du Nouveau Testament.
Dans le même esprit Vatican II, cette conférence organisée par le diocèse de Montpellier en dit long sur la trahison des clercs et les orientations suivies par l’épiscopat français :