"Les producteurs sédentaires sont bien plus susceptibles de se révolter contre l’oligarchie"
16 mai 2019 17:20, par ld
L’image de couverture de ce livre est génialement trouvée : pris en bloc l’immigration de masse est une flamme, un feu destructeur. Ses flammèches individuelles présentées comme pauvres et bienveillantes se révèlent pour ce qu’elles sont dès qu’on peut les regarder bien en face : hostiles et butées, certaines de leurs bons droits (sur nous).
Mais la question la plus importante est de savoir qui a allumé le feu...