Plus sérieux et plus modeste que Juan Branco, Marc Endeweld décrypte le système Macron
17 mai 2019 18:58, par MPNFLes croisements entre tous ces réseaux de pouvoir, c’est le libéralisme cosmopolite pour parvenir au messianisme. Or, qui l’active ? Les grands financiers influencent à coup de milliards et investissent dans ces cercles : franc-maçonnerie, réseaux communautaires, politiques et associatifs (LCR, trotskyste, celles LICRA et ses succursales...), les ONG afin de réaliser leur plan prévu il y a plusieurs siècles. Ces financiers repèrent les talents amoraux, dépourvus de scrupules pour faire avancer leur idéologie. Aujourd’hui c’est le microbe élyséen actuel mais avant de Pompidou à Nulhand, tous assoiffés de pouvoir ont participé à la destruction de la France puisque élevés, repérés par ces financiers messianiques qui ne se cachent plus devenir les rois du monde, montrant qu’ils peuvent remplacer Dieu tout en servant le diable Mammon. Tout doit converger vers l’hôtel principal dont l’épicentre n’est autre que Jérusalem. Pour accomplir ce vœux pieux, il faut abattre tout ce qui construit l’humain.
Ce qu’affirme ce journaliste de Têtu n’est pas une révélation en soi. Si l’on dispose d’un peu de bon sens, il était facile de se rendre avant les présidentielles de 2017, qui était ce nain qui nous gouverne. Il ne connaît ni sentiment ni morale ni scrupule ni limite ; cas typique du pervers narcissique et histrionique.
Je pense qu’il s’est forgé un destin depuis l’ENA aidé par maman bribri (ces Bonny & Clide de l’immoralité, cela transpirait sur les photos de la fête de la musique). Pour accéder à cette ivresse, il devait séduire puis amadouer les vieux/vieilles à fric pour s’alimenter chez les puissants en réseaux. Ce manipulateur trouve toujours les bons mots à utiliser pour conquérir, capter puis lâcher en plein vol une fois l’effraction commise. Pour dominer, il faut s’entourer soit ceux qui cherchent la reconnaissance que l’on persuade par la flatterie, soit les assoiffés de pouvoir sans réel talent, fusibles utiles qu’on lynche le moment venu. Quant au peuple, lui n’est là que payer, obéir, voter en des faux choix. Or, celui qui sortira vainqueur de ce faux choix sera le cosmopolite proche des valeurs de l’open society. D’où son mépris viscéral pour ces gens qui ne sont RIEN.