Incendie de Notre-Dame : le retour des marchands du Temple
18 mai 2019 10:30, par moy
Sur le site de l’entrepreneur de travaux anti-mérule préalables à l’incendie, on apprend ceci, rédigé avant l’incendie :
"« Après analyse, nous avons pu écarter le risque de mérule », note le chef d’entreprise Édouard Aubriat. Qui a toutefois été sollicité par le conservateur des monuments historiques de l’édifice et son architecte spécifique, pour assurer son traitement. Un travail délicat en raison de sa composition. « Le chêne qui compose généralement les toitures est un bois dur. Il empêche d’utiliser le traitement par infiltration », note l’entrepreneur. Qui a dû opter pour un traitement par pulvérisation d’un gel qui a coûté au total 15 000 €."
Le conservateur des monuments nationaux dépend du ministère de la culture, lequel dépend...
C’est Bénaval.
Suggestion : que les coupables du crime soient pulvérisés de nano-thermite et amenés sur la place de Grève... Ils adorent la vengeance médiévale.