Le FMI juge la dette française inquiétante et appelle Macron à réduire la dépense publique
5 juin 2019 16:29, par François DesvignesJe ne savais pas que les prêteurs de la France lisaient E&R.
Enchanté : bienvenu au club.
Non, parce que, souvenez-vous :
On a été quelques uns à faire remarquer ici que les bénéficiaires exclusifs de l’immigration et de l’État providence, c’était la banque et que la banque.
Qu’ainsi et aussi longtemps que la dette était en dessous de 100% du PIB la banque (qui finance tout, tout le monde, tout le temps) était pour l’immigration et les subventions à la con (syndicats, medias, fonctionnaires). Ce qui comptait c’est pas l’utilité de la dépense mais sa chèreté et sa durée.
Toutes les bonnes choses ont une fin :
Quand le taux d’endettement d’une société vieillisante évoluant sur un marché saturé et avec une population déjà largement surimposée, dépasse les 100 %, le banquier comprend que tout delta de la dette est financée par la dette : que c’est plus son emprunteur qui rembourse mais lui, le prêteur, qui paye la politique sociale inutile.
Alors là, stop de chez stop :
Passé 100% d’endettement tous les couts c’est pas bien . Zero immigration, zero retraité, zero fonctionnaire, zero assisté.va être le nouveau credo.
Bref, si vous n’êtes ni blanc, ni jeune, ni en bonne santé, ni habitué à bosser vraiment, vous allez morfler.
C’était un message du FMI.
Qui a TOUJOURS fait ce qu’il a dit.