Une histoire de "coupe" : le trafic de viande s’apparente au trafic de cocaïne
10 juin 2019 20:55, par Personne
À donner envie de s’interroger sur ce qu’on retrouve dans nos assiettes et comment cela y arrive ? Les petits producteurs locaux bien entendu sont à encourager en priorité... autant qu’on peut.
À rapprocher de l’article sur le jeune vegan qui répond à Alain ? Normal que des jeunes s’interrogent et cherchent leur route dans ce fatras de la malbouffe et du mal-être.