Brigitte Jullien, patronne de la police des polices, "réfute totalement le terme de violences policières"
16 juin 2019 10:29, par anonyme
1/’’Beaucoup de victimes présumées ne sont pas parvenues à déterminer les lieux et horaire précis des faits’’...
2 ’’dans certaines villes ou rues, il n’existe pas de vidéoprotection’’
1/Avec des victimes affligées d’un niveau de stupidité qui les rend incapables de dire où et quand elles ont été mutilées, comment faire pour enquêter.. ? De plus les plaignants ne font que se ’’présumer’’ victimes, car il n’y a pas violence quand on perd un œil sans savoir où et quand. Pas de violence, pas de victime.
2/Ce ne sont pas les caméras dont sont équipés les tireurs qu’on peut espérer pallier ces lacunes de vidéo ’’protection’’.
C’est clair, elle voudrait bien, mais elle ne peut point. D’ailleurs un œil crevé, une fracture du crâne ou de mâchoire, une main arrachée, en présence de la police et par la police, ne sont pas des violences et pas non plus policières ; ça n’est pas, ce qui constitue une violence inouïe, comme quand on crie dans la rue. Un peu de dignité !